posté le 30-06-2016 à 11:12:08

L'amour qu'on porte - Jo Hoestlandt-Carmen Segovia -

 

 

                               - Jo Hoestlandt-Carmen Segovia -

 

 

 

 

- pourquoi??

 

Le dessin émouvant de la couverture...

 

 

- le pitch de moi personnellement:

(présentation de l'éditeur)

 

J'aimais ces longues marches avec mon père.

Mais très vite, je trébuchais, je pleurnichais.

Alors, mon père se baissait vers moi, et avec un beau sourire, il m'installait à califourchon sur ses épaules, pour que l'on puisse, tous les deux, continuer le chemin.

 

- Je ne suis pas trop lourd? je lui demandais.

- Tu es lourd, bien sûr! disait mon père, mais pas trop.

Ce qu'on porte avec amour n'est jamais trop lourd...

 

 

- bien? pas bien? l'avis de moi en personne:

 

Un petit garçon nous raconte tout le plaisir qu'il prenait et tout le bonheur que lui apportaient les promenades avec son père, même, et surtout, quand il trébuchait, que son père lui prenait la main, et finissait par le porter, quand il n'avait plus du tout de forces.

Il s'inquiétait de savoir s'il n'était pas trop lourd sur les épaules de son père. Bien sûr qu'il était lourd! Aussi sûr que ce que l'on porte avec amour n'est jamais trop lourd!

 

 

 

 

 

 

 

Ainsi leur routine heureuse, au gré des promenades, à travers les bois puis jusqu'au haut de la falaise pour admirer le coucher de soleil.

 

Et puis le petit garçon a grandi. Il est devenir un jeune garçon, puis un jeune homme, et enfin un homme.

Très vite, il n'eut plus besoin de son père, plus besoin qu'il lui donne la main. C'était même lui qui marchait devant, son père le suivant, essouflé.

Et puis il a déménagé, un peu loin de chez ses parents, les voyait moins, et ce fut désormais avec la jeune fille qu'il aimait qu'il se mit à arpenter les chemins qu'il empruntais avant avec son père.

 

Quand la jeune fille l'a quitté, il est retourné voir plus souvent ses parents, et se remis à faire ces longues balades avec son père. Son père qui était fatigué, qui trébuchait sur les racines rencontrées en chemin.

Ce fut donc à son tour de le porter, et de lui affirmer que oui, bien sûr qu'il était lourd, mais que ce que l'on porte avec amour ne l'est jamais trop...

 

 

 

 

 

 

 

Très belle histoire, touchante et émouvante, sur le temps qui passe, la relation père/fils, fils/père, métaphore de leur lien au fil du temps qui passe.

 

Gros coup de coeur!

  

 

 

- merci qui?? une p'tite anecdote?:

 

                                                     (66)

 


 


 

 

 

 

                                            

 

                                  

 

 

 

 

 

 

 - lasardine -
 


Commentaires

 

jakin  le 01-07-2016 à 06:36:23  #   (site)

Compliments pour la photo du jour et pour cette présentation....Bonne fin de journée...

 
 
 

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