- Pierre Mac Orlan -
- pourquoi??
c'est un livre que j'ai lu et apprécié étant enfant, le voyant au détour d'un rayon, voilà qu'il me rappelle plein de souvenirs!!
je l'achète en premier lieu pour minimoi d'ici quelques temps, mais je n'ai pas pu m'empêcher de m'y plonger, espérant passer un aussi bon moment que celui que j'ai passé étant plus jeune...
- le pitch de moi personnellement:
- bien? pas bien? l'avis de moi en personne:
cette deuxième lecture a malheureusement été une déception pour moi...
déception compréhensible cependant, car il s'agit ici d'un roman jeunesse, bel et bien écrit pour celle ci, et uniquement pour celle ci...
les ingrédients sont là, l'aventure, la peur, les clichés (ici les pirates sont des pirates comme on les imagine quand on est enfant), la montée du suspens et bien sûr, la fin heureuse!!!
j'ai malgré tout pris plaisir à relire ce court récit puisque son action est située dans ma région natale, la Bretagne!!
quoi de plus agréable que de visualiser les villes et lieux dont il est question dans l'histoire qu'on lit??
pas mal de mots bretons ponctuent également le récit, ainsi que certaines expressions, propres à cette région...
un avis en demie teinte donc, car même si l'histoire ne m'a pas emballée (j'en attendais surement trop par rapport au souvenir que j'en avais, voilà le risque à prendre à relire des coups de coeur vieux de plusieurs années!!), j'ai quand même trouvé ça plutôt mignon, et je pense qu'il peut encore et toujours plaire aux enfants aujourd'hui...
- merci qui?? une p'tite anecdote??
Pierre MAC ORLAN et la Bretagne :
Pierre Mac Orlan a peu séjourné en Bretagne, mais il s'est beaucoup inspiré de l'ambiance particulière du port de Brest, dont il a su parfaitement décrire l'âme avant la deuxième guerre mondiale. Il a passé ses étés de 1911 à 1914 à Moëlan-en-Brigneau, dans le Finistère, un village fréquenté par d'autres peintres.
(source)
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Commentaires
Pimprenelle le 14-02-2010 à 11:56:06 # (site)
C'est en grande partie pour cela que je ne relis jamais les livres, trop peur de ne pas retrouver l'émotion de la première lecture.