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La tête en l'air - Paco Roca -

                                     - Paco Roca -

- pourquoi?:

J'aime ce que fait Paco Roca!

J'ai emprunté cet album à la biblio mais dès le début de ma lecture j'ai eu un goût de déjà vu... il semblerait que je l'ai déjà lu, mais sans en rediger un avis. Je m'aprêtais à stopper ma lecture, mais en fait je l'ai relu avec grand plaisir 

- le pitch de moi personnellement:

(présentation de l'éditeur)

Admis dans une résidence pour le troisième âge parce qu'il souffre de la maladie d'Alzheimer, Ernest ressent la vie en collectivité comme une épreuve. Mais il accepte bientôt son nouvel environnement et décode de se battre afin d'échapper à la déchéance à laquelle son mal le destine.

- bien? pas bien? l'avis de moi en personne:

Les vieux, j'adore! (oui je sais, je l'ai déjà dit, pleind de fois...). Alors forcément...

Le thème de la maladie d'Alzheimer me touche énormément, d'autant que ma Mamie adorée nous a quittés en Décembre dernier, après plusieurs années d'absence, déjà.

Le tout réuni dans une bande dessinée, par un auteur qui m'a déjà plu sur d'autres titres, il ne m'en fallait pas plus.

Et c'est au bout de quelques pages que vraiment, j'insiste, j'ai déjà lu cette histoire... Mais impossible d'en retrouvé trace ni sur la blog, ni aileurs et encore moins dans ma mémoire (gloups!!).

Et finalement après recherche, BINGO!

Oui, j'ai bien déjà lu cet album, et oui, j'en ai même parlé sur le blog! ICI!

Effectivement, c'est bien l'album sous le titre de "Rides" qui a été réédité!

Alors je ne vais pas recopier ici mon billet initial, mais juste dire que cette relecture m'a tout autant enchantée que la première.

Je cite la très belle préface de Taniguchi qui est d'accord avec moi

Il fait un sacré courage 

et un énorme talent de raconteur d'histoires

pour oder, comme Paco Roca, aborder le thème

des maisons de retraite et de la maladie

d'Alzheimer par la bande dessinée.

Vieillesse et décrépitude

sont présentées avec de la chaleur

dans le regard, sans condescendance,

avec naturel. La tristesse et le pathétique 

remuent encore plus les tripes du lecteur

quand ils sont exprimés avec humour.

C'est un chef-d'oeuvre, qui tire admirablement parti

de la puissance de l'illustration par les moyens

d'expressions de la bande dessinée

Il est rare, très rare que je relise. Ici, c'était fortuit, et c'était très bien!

Coup de coeur confirmé!

- merci qui?? une p'tite anecdote?:

D'autres titres de Roca:

- Les rues de sable

- La maison