- Jean Dytar -

- pourquoi??

La mise en avant de la médiathèque...

- le pitch de moi personnellement:

Venise, 1510. Atteint de la peste et alors qu'il sait ses jours comptés, Giorgione met toutes les forces qui lui restent dans l'élaboration d'un tout dernier tableau. Ce tableau sera l'ultime réalisation de sa vie qui prend fin, mais aussi grand hommage à celui qui lui a inspirésa vocation, Antonello De Messine...

- bien? pas bien? l'avis de moi en personne:

L'amour est le thème central de cette belle histoire qui nous plonge avec passion dans l'histoire des peintres et de leur quête de la perfection.

Amour de la peinture bien sûr, mais aussi amour tout court.

Parfait pour découvrir (dans mon cas), ou redécouvrir une partie de l'histoire de l'art vénitien, cet album oscille entre la folie créatrice de ses personnages et le calme qu'il dégage au fil des oeuvres reproduites présentes sur de nombreuses pages.

Son originalité réside dans ce mélange subtil d'Histoire de l'art, de polar et de romance. C'est à la fois beau, passionnant, rythmé mais aussi très lent, amenant à la réflexion dans laquelle on ne manque pas de s'immerger en refermant l'album, sur une fin chargée en émotion.

C'est la première fois que je lis quelque chose de ce genre et je suis ravie de l'expérience, avec la sensation d'avoir découvert quelque chose de précieux.

En me penchant un peu plus sur l'auteur, je découvre que ce titre est sa deuxième production, récompensée du prix Ouest-France au dernier festival Quai des Bulles à Saint-Malo.

Nul doute qu'un de mes prochains passages en biblio me verra repartir avec Le sourire des marionnettes qui m'emmènera cette fois en Perse.

- merci qui?? une p'tite anecdote??

(149)

chez Mango!!

 - lasardine -